Rencontre (pv stephanos & shaya) [Close]

Dur journée. Passant dans les couloirs, j'avais du faire le tours de plusieurs classe à cause de professeurs qui n'arrivais pas à faire régner l'ordre dans leur cours. j'avais aussi passer des heures dans des passages secrets parce qu'une petite fille était tomber malencontreusement dans l'un d'entre eux et que sa mère était venue me voir en pleurs, complètent paniquer pour que je retrouve sa fille. Une fois tout cela fait, je retournais dans mon bureau. je soupirais un bon, approchant de ma bibliothèque et regardant un instant les nombreux livre et grimoire que je collectionnait depuis des centaines d'années. j'en prit un et regarda la couverture:

- la poule noire...tsss... je suis pas d'humeur...

je le remit en place et en prit un autres, énorme et abimer, passant la main sur la couverture fait de morceaux de peau humaine, pleine de poussière et souffla un bon coup dessus. La poussière vola, je seνεκρομαντίαouait ma ami devant mon visage en toussant et grimaçant:

- il était temps que je te ressort toi...

je m'approchais du bureau, posa le livre et m'assis sur mon siège. je soupirais et murmura:

- νεκρομαντία !

Les grosse serrure qui retenait le livre fermer s'ouvrir d'un c, les lèvres s'étirèrent en un sourire satisfait puis j'ouvris mon grimoire et commença à le feuilleter. Au bout de quelques heures de lecture, j'étais tellement épuiser, que je finis par m'endormir sur mon grimoire, complètement affaler dessus, d'ailleurs, je n'entendis même pas la porte de mon bureau s'ouvrir tellement mon sommeil était profond.

Toujours endormis, je me détendais complètement, aucun rêve, rien, juste le noir complet. je sentit quelque chose heurté ma tête, un simple chatouillis, à peine. j'entrouvris les yeux et me redressa. Je vis un homme assis de l'autre coté de mon bureau, les yeux sur celui-ci. je tournais la tête et regarda le livre qu'il m'avait jeter. je me penchais et le ramassa, lisant le titre sur la couverture ancienne; je le posais doucement sur mon bureau et dit avec calme déconcertant:

- le Petit Albert... je l'est voler moi même au Vatican quand celui existait encore...

je soupirais et referma mon énorme grimoire lentement, les serrure se refermèrent d'elle même, faisant à nouveau volée un fin nuage de poussière. Mon bureau était faiblement éclairé, pour cause, mais fenêtre était tous des vitraux de teinte foncer au inscription magique incrusté dedans, pourtant, je voyais parfaitement le visage de l'homme face à moi. je le fixait de mon visage impassible et demanda toujours aussi calmement:

- a qui ais-je l'honneur ?

je fixait l'homme avec toujours autant de calme et répondit:

- je me nomme shaya.

Lord ? cet homme avait-il du sang noble ? comme moi ? je m'en fiche. comment cela "son bureau" ? je me levais doucement, mai poser sur le bureau et ajouta sans ciller, mon regard toujours plonger dans le sien:

- je suis la directrice adjointe. Kataryna m'as donner se bureau...de toute façon...je ni est pas vraiment sentit l'odeur d'un mâle dominant à mon arrivée.... personne ne semble vous connaître ici, vous sembler pas vraiment marquer les esprit my Lord ...

je lui fit un sourire innocent alors que je venait ouvertement de l'insulté, cela en déconcerterais plus d'un mais je m'en fiche, qui le prenne bien, mal ou qu'il l'ignore, j'ai autre chose à faire.

- si vous avez un problème, allez donc voir kataryna.

Mes yeux suivirent le trajet de mon grimoire jusqu'au dessus de la tête de l'homme. je fit un bon, un seule. Attrapant mon livre au vol, passant main au dessus de la flamme qui se gela aussitôt, je prit appuie sur les épaules de l'homme et m'élança vers l'avant . je me posais face à ma bibliothèque et remit le livre en place. j'avais l'air toujours aussi calme, si cherchait à me pousser à bout, c'était râté...

* stephanos...stephanos...se nom me dit quelque chose.*

je gardais les yeux river sur es centaines de livres qui se dressais face à moi, plonger dans mes pensées au point d'en oublier l'homme à côté de moi. Soudain je sortit de mes rêveries et demanda:

- qu'est-ce vous voulez au juste my lord ?

je prit une profonde inspiration bien que mon corset m'en empêchais à moitié, je le regardais avec attention.

je ne répondit pas à sa critique sur mon grimoire. je le fixant toujours, je le suivait des yeux sans ciller. je regardais la porte dont la serrure se fermait seule. je tournait à nouveau la tête vers l'homme, levant mon visage pour mieux le regarder.

- se n'est pas une porte fermer à clé qui m'empêcheras de partir vous savez my lord...

De toute façon, je n'avez pas l'intention de partir.

- au faite...vous parliez de me...faire du mal....

je prit un livre derrière moi, le contourna et m'assis sur u petit canapé plus loin dans la pièce. Ouvrant le livre et commençant à lire tranquillement puis dit calmement:

-ah...voilà....

je penchais la tête sur le côté et lis à haute voix :

- Au travers des générations, l'humanité à connu bien des choses, parmi elles... l'ont décris un homme secret et insaisissable. L'illuminati elle même aurais voulu faire de cet homme sa propriété, l'on dit que c'est d'ailleurs cet homme qui aurait plonger cet gigantesque organisation à sa propre perte. cet homme du nom stephanos, est souvent représenter comme la mort portant une couronne...

j'esquissais un faible sourire, passant mes doigts sur une vielle représentation de l'homme à la couronne et murmura:

- fascinant...vraiment fascinant...

Stephanos s'installa à côté de moi, je ne dit rien et continua de fixer l'image alors qu'il me dit qu'il n'aimais pas cette image. Je sourit mal gré moi, tournant la tête vers lui et dit:

- c'est une vieille images...elle doit daté du moyen âge...

il pourrais me faire du mal ? je n'en doute une seconde... Et je restait là, à le fixer, mon livre en main et murmura:

- tout de même...l'illuminati...c'est incroyable...

Et là, un miracle se produisit : je sourit. Un vrai sourire, discret, mais bien là, je regard pétillant. Mais une fois que je retrouvait mes esprit, je détournait le regard et dit en fermant mon livre:

- je vais allez voir kataryna...vous pourrez récupérer votre bureau, elle m'en donneras un autre.

je baissais la tête, mon visage cacher par les longs cheveux blancs, mon regard à nouveau vide et sans expression.

je le regardais se lever puis se rassoir. Il posa sa main autour de mes épaules, la descendit jusqu'à ma taille gracile, je ne dit rien, le fixant toujours dans les yeux et répondit:

- cette image n'est pas disgracieuse... la mort est belle, insaisissable... omnipotente, omniprésente...toujours calme et paisible...

cet homme était-il comme cela lui aussi ? est-ce pour cela que tant d'écrits parlaient de lui, et le représentait comme la mort ? c'est magnifique...

- j'aime la mort et tout ce qu'elle représente...je n'en est pas peur...je l'attend simplement, comme tout le monde devrais le faire... j'attends juste qu'elle m'emmène avec elle,que je sois libérer de tout... que je pusse me reposer en paix...loin de tout.

je l'écoutais attentivement sans le lâcher du regard. cet homme m'attirais comme un aimant, je voulais savoir tout ce qu'il avait fait et pourquoi...entendre ses récits à n'en plus finir.. . S'amuser ? autrement ? je tournais rapidement la tête sur le côté, regardant par dessus mon épaules , les doigts de stephanos qui détachaient mon corset. je retins ma respiration et me leva d'un coup, le laçage de mon corset de refis de lui même et je dit:

- non. pas de ça .

Mon regard redevint froid et distant. je partis m'assoir à mon bureau, passant ma main sur ma nuque douloureuse en soupirant. j'avais mal, j'étais épuiser... et je ne suis pas une catin. je ne couche pas ainsi à droite à gauche... il faudra qu'il se le mette en tête.

Stephanos se leva a son tour puis se placa derrier elle et posa ses mains sur sa nuque et commenca lui masser doucement la nuque puis il lui dit:

-Loin de moi l'idée de dire de vous que vous etes une catin ma chere. Mais dites moi je supose que vue que Kataryna vous a donné mon ancien bureau elle vous aura aussi peut etre donner ma chambre non ?

Puis il continua de lui massé doucement la nuque.

Je me laissais faire, fermant les yeux, appréciant le massage doux mais vigoureux de stephanos pour soulager mes muscles. Sa chambre ? euh...

- je ne sais pas...kataryna ne m'as rien dit à se sujet... nous irons vérifier après si vous le souhaitez...

je soupirais et me détendit complètement et murmura:

- par tout les diables...c'est tellement bon...

Personne ne m'avait fait un massage aussi bon jusqu'à se jour, pas même kataryna, cet homme à vraiment des mains experte, c'est incroyable.

je soupirais encore, mon corps se relâchant complètement sous le massage de stephanos et je lui dit:

- il y 6000 ans...pour quoi cette question ?

j'ouvris les yeux et demanda étonner:

- vous pensez que es douleurs sois lié à ma lycanthropie ?

je tournais légèrement la tête vers lui et dit:

- cela fait un moment déjà que ça à commencer...depuis 6 mois environ...les douleurs sont de pire en pire...

Stephanos souria a ses question, il lui repondit:

-Il faudrait deja apprendre a vous detendre un petit peu.

Puis il la souleva l'allongea sur le ventre sur son bureau et commenca a delacé son corsage une nouvelle fois et dit tout de suite tout en l'empechant de se relevé:

-Ne vous en faites pas il n'y a rien de sexuelle dans cela c'est juste pour vous detendre un petit peu. Laissez vous masser et profité.

je fut étonner quand stephanos me souleva et m'allongea sur le bureau après avoir tout pousser d'un geste de la main. je voulais me redresser mais il me força à rester allonger, détachant mon corset. je le regardais légèrement inquiète mais si il avait voulu me faire du mal, je pense qu'il l'aurais autrement quand me faisant un massage.

- très bien...

je ne suis pas pudique juste que cela fait bientôt 400 ans que je n'est pas eu d'aventure avec un homme. Pourtant, ce n'est pas l'envie qui manque, loin de là...comme tout le monde, j'ai des besoin à satisfaire , le problème c'est que je suis déborder et je n'est pas le temps de me faire plaisir...je fermais les yeux, me détendant complètement, sentant les main de l'homme caresser ma peau de marbre pour me soulager.

Stephanos enleva doucement le corset de la jeune femme puis il Dessendit doucement ses main dans son dos et commenca a la massé doucement. Puis il lui dit:

-Tu ne doit pas souvent te relaxé dit moi ?

Je me laissais faire, je lui faisait confiance et puis il me faisait tellement de bien.

- c'est vrai...je n'est pas beaucoup de temps pour moi, j'ai trop de travaille, je suis épuiser...

je fermais les yeux, esquissant un petit sourire de bien être et ajouta:

- kataryna à dit qu'elle engagerais des gens pour m'aider...dis-moi que c'est toi et pas un bon à rie qui passerais son temps dans mes pattes à ne rien faire....

oui, je suis sur que stephanos serais un bon collègue de travaille.

- parfois je me dit que j'aurais mieux fait de rester enfermer dans se fichu miroir...

Stephanos continué son massage, mais il ajouta:
-Katy ne ma pas appeler je suis revenu ici de moi meme, mais vue que je compté reprendre un peut mon ancien travaille de surveillant assistant directeur pourquoi ne pas t'aidé ?

Puis il deposa une petite couverture pris tout au dessus de la bibliotheque et le deposa au niveau de la jupe de Shaya et lui dellassa aussi le haut de sa jupe et lui retira doucement tout doucement la couvrant toujour avec la petite couverture de facon a ce que son intimité reste proteger. Et il lui dit:

-Ne vous inquiettez pas je vous ais mis une couverture par dessus vos hanche pour ne pas vous géné.

Puis il continua son massage passant tout doucement au bas de son dos et commenca tout doucement a lui massé le bas du dos. et il rajouta:

-Voila a présent va commencé la vrai detente. Relaxez vous ai profité de cela.

quand il me mit une couverture sur le bas de mon corps, je me redressais légèrement et tourna la tête vers lui. ne pas m'inquiéter ? mais je suis presque nue sur un bureau !!!!

- euh...oui d'accord...

la vrai détente ? j'ai hâte de commencer alors. c'était étrange de voir qu'il me couvrait alors qu'il me restais ma culotte en dentelle rouge avec bas et porte-jerretelle et mes soulier. je regardais mon corset rouge et noir avec ma jupe noir poser sur la chaise et me rallongea doucement, essayant de me détendre.